Alison Rossiter
Notes de mon entretien avec Alison Rossiter le 3 juillet 2013 à Arles.
Tout son travail avec gélatine argentique.
Coopère avec les conservateurs pour étudier les papiers.
Parfois mouille le papier avant (lignes plus douces, comme aquarelle).
Idée générale avant de ce qui peut sortir, pas totalement imprévisible.
Processus très scientifique d’expérimentation, carnet de notes.
My work is a result of death of photography.
Latent images ; histoire de la première.
Feuilles collées l’une à l’autre par l’émulsion (humidité) : diptyques, images miroir. Partir d’un accident.
Ligne verticale : fréquent. La fermeture de la boîte pas étanche à la lumière, tache centrale.
Traces de doigts huileux. Pression de l’écriture au dos du papier (dimensions).
Parfois le montrer tel quel, il va se ternir peu à peu.
Some accidental, some composed, she builds a form.
Invisibilité de l’auteure, peu d’humain.
Why her curiosity?
99% of photographers would have said : « oh shit ! »
My training is technical, not history or esthetics ; trying to understand.
Before, she made photograms (books), horses dessins lumineux, codes braille sur les papiers.
Toujours intéressée par ce que la lumière fait au papier.
Lien avec peinture, référence (plus que photo).
Alone in her line.
Others interesting : Marco Breuer, Liz Deschenes, James Welling, Matthew Brandt, Michelle Kloehn.
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